Événements

En attendant Bárðarbunga.
PAVED Arts, Saskatoon (SK), Canada.
15 septembre au 21 octobre 2017.

Conférence à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue
Création et nouveaux médias à l’UQAT, Rouyn-Noranda (QC), Canada.
7 septembre 2017.


Événements récents

Balance Unbalance 2017 – A Sense of Place.
Plymouth, Royaume-Uni.
Du 21 au 23 août 2017.

Distances : latences.
Maison de la culture du Plateau-Mont-Royal, Montréal (QC), Canada.
Commissaire : Nathalie Bachand. Projet d’expositions du réseau Accès culture pour le 375e anniversaire de la Ville de Montréal : Un million d’horizons (1×19=1 000 000).
Du 21 juin au 20 août 2017.

Résidence au parc national du Gros-Morne, partenariat de The Rooms et de Parcs Canada. Terre-Neuve-et-Labrador.
Du 26 juin au 28 juillet 2017.

POST-, La Minute vidéo Folie/Culture 2017.
La Chambre Blanche. Québec (QC), Canada.
Le 10 mai 2017.

Résidence d’artiste à La Chambre Blanche. Québec (QC), Canada.
Du 13 mars au 5 mai 2017.
Présentation lors d’un 5 à 7 le 30 mars 2017.

Résidence d’artiste au Centre Sagamie. Alma (QC), Canada.
Du 21 au 25 novembre 2016.

Variations pour cordes et vents.
Vitrine interactive de l’ARTVstudio. Montréal (QC), Canada.
Du 21 juin au 28 août 2016.

Perdu dans l’espace.
Salle de diffusion de Parc-Extension, Montréal (QC), Canada.
Dans le cadre de la Biennale internationale d’art numérique.
Du 6 juillet au 28 août 2016.

En attendant Bárðarbunga.
Centre d’art Jacques-et-Michel-Auger, Victoriaville (QC), Canada.
Festival international de musique actuelle de Victoriaville.
Commissaire : Érick D’Orion.
Du 16 mai au 11 juin 2016.

En attendant Bárðarbunga.
Vitrine de la Manif d’art dans le cadre du Mois Multi.
600 côte d’Abraham, Québec (QC), Canada.
Du 3 au 27 février 2016, de midi à minuit.
Vernissage le 11 février à 17h.

Résidence de recherche en arts, sciences et technologies.
Collaboration entre Sporobole et l’institut interdisciplinaire d’innovation technologique (3IT) de l’Université de Sherbrooke.
Sherbrooke (QC), Canada.
2014 – 2015.

En attendant Bárðarbunga.
Diffusion de 16h à minuit à la vitrine de Sporobole.
Sherbrooke, Québec, Canada.
Du 10 au 18 décembre 2015.

RIDM | Rencontres Internationales du Documentaire de Montréal
Salle Norman-McLaren de la Cinémathèque québécoise.
335, boul. De Maisonneuve Est, Montréal, Québec, Canada.
Du 12 au 22 novembre 2015.

Sous observation | Quebec Digital Art in NYC
Knockdown Center.
52-19 Flushing Avenue, Maspeth, New York. États-Unis.
Du 22 au 24 octobre 2015.

Éléments
Exposition solo à Espace F – GAM.
Matane, Québec, Canada.
Du 10 juillet au 20 septembre 2015.

IndieBo – Festival de Cine Independiente de Bogotá
Bogotá, Colombie.
Du 16 au 26 juillet 2015.

LOOP Barcelona 2015
NOISE – Ruta del Gótico | Estudio Nómada.
Carrer de la Palma de Sant Just 7, 08002, Barcelone, Espagne.
29 et 30 mai 2015.

Exposition New Frontier du festival de film Sundance.
573 Main Street. Park City, États-Unis.
Du 23 au 31 janvier 2015.

Points de repère dans le cadre de l’exposition Vies de Plateau
Pointe-à-Callière, Musée d’archéologie et d’histoire de Montréal.
Montréal, Québec, Canada.
Du 23 octobre 2013 au 4 janvier 2015.

Plugin Istanbul
Exposition Confluence regroupant des artistes de Perte de Signal.
The Istanbul Convention and Exhibition Center. Istamboul, Turquie.
Du 13 au 16 novembre 2014.
Vernissage le 12 novembre 2014.

ISEA2014 – Location. 20th International Symposium on Electronic Art.
Cour intérieure principale du quartier historique Al Fahidi.
Dubaï, Émirats arabes unis.
Du 2 au 8 novembre 2014.
Vernissage le 4 novembre à 18h.

FILE 2014, Festival Internacional de Linguagem Eletrônica.
Centre culturel FIESP. São Paulo, Brésil.
25 août au 5 octobre 2014.

Résidence à la Samband íslenskra myndlistarmanna.
Reykjavík, Islande. Projet soutenu par le CAC et le CALQ.
31 juillet au 1er septembre 2014.

Trace(s) – Festival des arts numériques.
Centre d’art rhodanien Saint-Maur, Bagnols-sur-Cèze, France.
Du 15 mai au 4 juin 2014.

Papilles et pixels.
Centre des sciences de Montréal. Montréal, Québec, Canada.
15 mai 2014.

Dérive à Électrochoc 9.
Halle Grenette, Bourgoin-Jallieu, France.
Du 3 au 12 avril 2014.

Neural 47, Art in the age of neurological reproduction
L’édition 47 de Neural contient une entrevue avec Novi_sad et le visuel de Neuroplanets figure à la couverture du magazine.


BorderBody – Mixing Identities
MECA Mediterráneo Centro Artístico, Almeria, Espagne.
7 et 21 février 2014.

BorderBody – Mixing Identities
Palazzo Barone Ferrara, Bari, Italie.
Du 13 au 21 février 2014.

The Wrong – The New Digital Art Biennale
Homeostasis Lab
Du 1er novembre au 31 janvier 2014.

Impermanence
Exposition avec les membres de Perte de Signal Nelly-Ève Rajotte et Alexis Bellavance commissariée par Charlotte Panaccio-Letendre. L’exposition est présentée dans le cadre de la 27e édition du Festival international du cinéma francophone en Acadie (FICFA). Merci au Conseil des arts du Canada.
Galerie Sans Nom.
Moncton, Nouveau-Brunswick, Canada.
Du 15 novembre au 20 décembre 2013.

SHOW OFF Paris
Volet d’art numérique québécois présenté par Perte de Signal en collaboration avec Elektra.
Directeur artistique: Dominique Moulon
Commissaire invitée: Aurélie Besson
Espace Pierre Cardin, Paris, France.
Du 21 au 23 octobre 2013

Publication électronique 40 000 ans.
Publication collective numérique produite par Avatar réunissant les contributions de 55 artistes de l’Europe, des États-Unis, du Canada et du Québec. On y retrouve notamment un texte de Nathalie Bachand sur Dérive. Elle sera offerte gratuitement dès le samedi 21 septembre 2013 sur le iTune Store et en version web au http://avatarquebec.org/40000ans/fr/f_quevillon.html

Programmation Espaces liminaires à Espace [IM] Média 2013.
Commissariat d’interventions à Sherbrooke (Québec, Canada) du 31 juillet au 17 août 2013 par Isabelle Hayeur, Nelly-Ève Rajotte, Aram Bartholl et Niklas Roy.
Documentation et information supplémentaire.

Réalisation de la couverture de l’album Neuroplanets, un projet de l’artiste sonore et musicien Novi_sad en collaboration avec BJ Nilsen, Daniel Menche, Francisco López et Mika Vainio.

Defrost au Festival internacional de la imagen.
Centro Cultural y de Convenciones Teatro los Fundadores.
Manizales, Colombie.
Du 15 au 19 avril 2013.

Dérive au Mois Multi 14
Studio d’Avatar, ville de Québec.
Du 15 au 28 février 2013, de 12h à 18h.
Vernissage le 14 février 2013 à 18h.

Dérive à ISEA2012 Albuquerque : Machine Wilderness
Albuquerque Museum of Art and History.
Albuquerque, Nouveau-Mexique, États-Unis.
Du 19 septembre 2012 au 6 janvier 2013.

Article, THE Magazine (Santa Fe, NM).
Article, The Institute of Creative Technologies (Leicester, UK).
Entretien avec Larry Heard, Temporary Art Review.
Reportage pour la télévision, KASA.

Résidence d’artiste au Museu da Imagem e do Som.
São Paulo, Brésil. Novembre et décembre 2012.
Collaboration du MIS, d’Avatar, de la Bande Vidéo et de La chambre blanche.

Impermanence
Exposition avec les membres de Perte de Signal Nelly-Ève Rajotte et Alexis Bellavance commissariée par Charlotte Panaccio-Letendre.
Espace Cercle Carré.
Montréal, Québec.
Du 1er au 24 novembre 2012.

Résidence d’artiste chez Avatar.
Québec, Québec. Novembre 2012.

Géographies variables
Exposition collective à l’édifice Beenox.
305 boul. Charest Est, 9ième étage, Québec, Québec.
Du 19 octobre au 11 novembre 2012.

Impermanence
Exposition avec les membres de Perte de Signal Nelly-Ève Rajotte et Alexis Bellavance commissariée par Charlotte Panaccio-Letendre.
Maison des arts Desjardins Drummondville.
Drummondville, Québec.
Du 4 septembre au 21 octobre 2012.

Dérivées locales
Exposition Confluence de Perte de Signal à la galerie Joyce Yahouda (Montréal, Québec) du 3 mai au 2 juin 2012.
Dans le cadre de la Biennale internationale d’art numérique.

Dérive au festival Art Rock (Saint-Brieuc, France)
Du 22 au 28 mai 2012.

Dérive à Bouillants #4 // Frontières (Vern-sur-Seiche, France)
Du 21 avril au 20 mai 2012.

Présentation le 4 mai 2012 à 15h à la salle Fernand-Séguin de la Cinémathèque québécoise (Montréal, Québec) dans le cadre du Marché international de l’art numérique.

Dérive
Exposition à la Galerie Verticale (Laval, Québec)
Du 24 mars au 28 avril 2012.
Présentation le 28 avril 2012 à midi dans le cadre de la Biennale internationale d’art numérique.

Revue Sabord. Mars 2012 – no 91, Surveillance
Le pouvoir du regard. Chronique de Annie Hudon Laroche portant sur la série Chronoscopies et Dérive.

Art Souterrain 2012
Gare Centrale de Montréal (Montréal, Québec).
25 février au 11 mars 2012.

Résidence d’artiste à l’AADN (Lyon, France).
Du 31 octobre au 23 novembre 2011.

Présentation de l’installation Dérive et du travail de résidence en cours dans le cadre du festival Expériences Numériques.
Maison pour tous – Salle des Rancy. 249 rue Vendôme (Lyon, France).
Activité de médiation le 11 novembre à 19h.
Exposition le 12 novembre à compter de 16h30.

VENDU-SOLD 2011
Encan-bénéfice d’art contemporain au profit des Éditions esse.
Musée des beaux-arts de Montréal.
Le 17 novembre 2011 à 18h.

Interstices – Coefficients d’intimité / Amplified Intimacies
Lancement de la publication à OBORO (Montréal, Québec).
Le 10 novembre 2011 à 17h30.

Dérive
Projection interactive extérieure dans le cadre d’Espace [im] média. Près du Marché de la gare de Sherbrooke (Québec) du 6 au 18 septembre 2011, de 19h30 à minuit.

Résidence d’artiste à Sporobole (Sherbrooke, Québec), été 2011.

L’atomisation du temps
Exposition solo à l’espace d’art et d’essai contemporains Occurrence (Montréal, Québec) du 7 mai au 18 juin 2011. Présenté en collaboration avec Elektra.

Exposition solo La Terre en suspens.
OBORO. Montréal, Québec, Canada.
Du 15 avril au 20 mai 2023.
Vernissage samedi le 15 avril à 17h.
Présentation d’artiste samedi le 6 mai à 14h.

Exposition collective Nouveaux environnements : approcher l’intouchable produite par Molior et commissariée par Nathalie Bachand.
Le Livart. Montréal, Québec, Canada.
Du 24 mars au 30 avril 2023.
Vernissage le 23 mars à 18h.

Deux diffusions dans l’espace public en France dans le cadre de Révolution V52.
Cryptocristallin dans la Vitrine de L’unique – Musée Dehors à Caen.
Traînées pyroclastiques sur l’écran de Digitale Zone à Marseille.
Du 11 au 17 janvier 2023.

Exposition La Terre en suspens au Centre d’exposition d’Amos.

Exposition solo La Terre en suspens.
Centre d’exposition d’Amos.
Amos, Québec, Canada. 
Du 18 novembre 2022 au 15 janvier 2023. 
Vernissage le 18 novembre 2022.
Commissaire : Eric Mattson

Morceaux choisis – Collection de la Ville de Longueuil. 
Édifice Marcel-Robidas.
Longueuil, Québec, Canada.
10 novembre au 18 décembre, 2022.

Vendu–Sold. Encan-bénéfice au profit des Éditions Esse.
Enchère sur le site de BYDealers et exposition chez Projet Casa.
Montréal, Québec, Canada.  
Du 10 au 20 novembre 2022.

Exposition Éco(Systèmes) d’espoir.
Programmation artistique de MTL connecte.
Anteism Books.
Montréal, Québec, Canada.  
Du 18 au 30 octobre 2022.
Vernissage le 18 octobre à 17h.
Commissaire : Erandy Vergara.

Surfaces fuyantes (2022) à la Place des Arts.

Surfaces fuyantes.
Mosaïque d’écrans de l’Espace culturel Georges-Émile-Lapalme de la Place des Arts.
Montréal, Québec, Canada.
Du 6 octobre au 10 novembre 2022.

Exposition İnsan Eli Değmiş
Kalyon Kültür.
Istanbul, Turquie. 
Du 17 septembre au 17 décembre 2022.
Commissaires : Ceren et Irmak Arkman. 

La Terre en suspens
Exposition La Terre en suspens au Centre d’art de Kamouraska.

La Terre en suspens.
Centre d’art de Kamouraska
Kamouraska, Québec, Canada.
Du 18 juin au 5 septembre, 2022, de 10h à 18h.
Lancement le 17 juin 2022.
Articles parus dans Esse, Urbania et Le Soleil.

Rooting : Infrastructure et Rooting : Le Rocher, exposition Flora commissariée par Ceren et Irmak Arkman.
Kalyon Kültür, Istanbul, Turquie.
Du 19 janvier au 28 mai 2022.

Unearth (2021), exposition .dreams au Theatre of Digital Art (Dubaï, Émirats arabes unis). Photo : Generative Gallery.

Exposition Tromper l’oeil.
Art Mûr. 5826 St-Hubert, Montréal (QC), Canada.
Du 5 mars au 23 avril 2022.
Vernissage le samedi 5 mars 2022 de 15h à 17h.

La Traversée fait partie de la programmation Absorptions de Aseman Sabet co-présentée au Festival International du Film sur l’Art avec MUTEK.
Salle d’exposition de l’Espace culturel Georges-Émile-Lapalme de la Place des Arts.
Du 16 au 27 mars, 2022. De midi à 20h00.

Unearth, exposition .dreams de Generative Gallery.
Theatre of Digital Art, Dubaï, Émirats arabes unis.
Du 23 novembre 2021 au 13 mars 2022.

Exposition solo La Terre en suspens.
Centre Bang, Chicoutimi (QC), Canada.
Du 14 octobre au 18 décembre 2021.

Regard neuf sur notre vieille planète, article de Daniel Côté sur l’exposition La Terre en suspens au Centre Bang. Le Progrès, 27 novembre 2021.

Traînées pyroclastiques fait partie d’une programmation de Kino Tonalà présentée au cinéma Zumzeig.
Zumzeig, Barcelone, Espagne.
18 novembre 2021 à 23:55.
7 décembre 2021 à 20:00.

Rooting : Le Rocher
Rooting : Le Rocher (2020), exposition Digital Aura de l’OMAF 2021 au Oil Tank Culture Park (Séoul, Corée du Sud). Photo : OMAF.

Rooting : Le Rocher à l’exposition Digital Aura de l’Open Media Art Festival 2021
Oil Tank Culture Park, Séoul, Corée du sud.
9 au 12 septembre, 2021.

Météores fait partie du pavillon In Absentia de The Wrong Biennale.
Foggia, Italie.
https://www.inabsentia.it/gallery_eng/meteores
https://thewrong.tv/inabsentia

Une nouvelle itération de Traînées pyroclastiques est présentée au Géoparc de Percé lors de la Grande Rencontre des arts médiatiques en Gaspésie, Les Percéïdes. Percé (QC), Canada.
1er au 7 septembre, 2021.

Météores 3763 (2018), exposition Elusive Matter lors d’Intervals 2021 (Nijni Novgorod, Russie). Photo : Generative Gallery.

Photosynthèse, Mouvant, Pyrocumulus et Rooting : Le Rocher sont présentés à l’exposition physique de MUTEK.
Société des arts technologiques, Montréal (QC), Canada.
20 août au 5 septembre, 2021.

Météores (3686, 3647, 3763 et 3542) font partie de l’exposition Elusive Matter organisée par Generative Gallery pour Intervals 2021.
Nijni Novgorod, Russie.
27 au 29 août, 2021.

Mouvant fait partie de la Computer Vision Art Gallery de CPVR 2021.
Événement virtuel en raison de la COVID-19.

Résidence chez Est-Nord-Est, résidences d’artistes.
Saint-Jean-Port-Joli (QC), Canada.
5 juin au 27 août, 2021.

Exhaust est présenté à The Intense Pleasures of the Small File.
Colgate University. Hamilton, NY.
2 avril, 2021.

Conférence lors de l’événement Territoires numériques organisé par Culture Côte-Nord.
1er avril, 2021.

Photo : Ricardo Savard, La Bande Vidéo.

Résidence à La Bande Vidéo.
Québec (QC), Canada.
Du 9 au 28 mars 2021.

Apoptosis fait partie de la programmation Sujets à risque de La Bande Vidéo.

Participation à l’épisode IA, en route! du podcast Humaniteq.

Présentation à Sympoïétiques : Les Rencontres interdisciplinaires d’Hexagram.
Le 27 octobre 2020.

Quévillon Échappement

Échappement au Small File Media Festival.
Du 10 au 20 août, 2020.

Œuvres d’art et intelligence artificielle.
Conférence en ligne organisée par le CQAM.
Le 7 avril 2020.

Exposition Cosmogonie et conférence au Mirage Festival.
Les Subsistances, Lyon, France.
Du 11 au 15 mars 2020.

L’intelligence artificielle dans le milieu des arts médiatiques, de l’industrie et du savoir.
Chaufferie d’Hexagram. Montréal, Québec.
Le 7 février 2020.

Exposition solo Gravity au Centro de Cultura Digital (Mexico) dans le cadre de Connecting the Dots.

Résidence à Mexico dans le cadre de Connecting the Dots en novembre et décembre 2019 en collaboration avec l’Instituto de Geografía de l’UNAM, SOMA, Centro Cultural de España en México, Centro de Cultura Digital, Fundación Telefónica México, Délégation générale du Québec à Mexico et soutenue par le Conseil des arts du Canada.

Commissaire et directrice : Carmen Salas
Productrice : Finella Halligan

Résidence et activités à SOMA.
Du 4 au 18 novembre 2019.

Inauguration de Connecting the Dots et projection De Defrost a Météores (2001-2018) au Centro Cultural de España en México.
5 décembre 2019.

Exposition solo Gravity au Centro de Cultura Digital.
Du 6 au 8 décembre 2019.

Conférences et table ronde de Connecting the Dots au Centro de Cultura Digital.
7 décembre 2019.

ONLY

Exposition solo Conduite algorithmique au MA, Musée d’art de Rouyn-Noranda.
Rouyn-Noranda (QC), Canada.
Du 11 octobre au 8 décembre 2019.
Commissaire : Eric Mattson.

Exposition collective Fichiers temporaires
Du 8 octobre 2019 au 12 décembre 2019.
Centre Sagamie. Alma, Québec.
Dans le cadre du Colloque Numérique 02.

Projet Territoires ; Explorations avec le commissaire Eric Mattson.
Québec, Canada.
Octobre 2019.

Résidence au Centre Bang.
Chicoutimi (QC), Canada.
Du 10 au 27 septembre 2019.

FILE 2019 – Festival Internacional de Linguagem Eletrônica
Centre culturel FIESP São Paulo, Brésil.
Du 25 juin au 11 août 2019.

ISEA 2019 – Lux Aeterna
Asia Culture Center, Gwangju, Corée du sud.
Du 22 au 28 juin 2019.

Résidence au Centre Bang.
Chicoutimi (QC), Canada.
Du 22 mai au 11 juin 2019.

Manœuvrer l'incontrôlable

Exposition Manœuvrer l’incontrôlable chez Expression
Expression, Centre d’exposition de Saint-Hyacinthe (QC), Canada.
Exposition du 9 février au 21 avril 2019.
Vernissage le 9 février 2019 à 14h.
Commissaire : Eric Mattson.

Compte rendu de Louise Boisclair de l’expo Manœuvrer l’incontrôlable dans esse arts+opinions #96 – Conflits.

Conférence à Regard en collaboration avec le Centre Bang.
Chicoutimi (QC), Canada.
Le 14 mars 2019, de 13h à 14h30 .

Artiste en résidence à Avatar
Avatar, Quebec (QC), Canada.
Résidence du 8 au 22 janvier 2019.
Présentation et performance Conduite algorithmique le 22 janvier 2019.
Commissaire : Eric Mattson.

Manœuvres à NeurIPS 2018
Exposition de l’atelier Machine Learning for Creativity and Design.
Palais des Congrès de Montréal, Montréal (QC), Canada.
8 décembre 2018.

Conduite algorithmique. BétaLab à Sporobole
Sporobole, Sherbrooke (QC), Canada.
Exposition et diffusion en vitrine du 5 au 24 novembre 2018.
Vernissage le 16 novembre 2018.

De la résidence Interface jusqu’à « Conduite algorithmique » : un parcours à double-sens.
Entrevue et réflexion de Nathalie Bachand sur le blogue Une salve d’avenir de Sporobole.

Conduite algorithmique. Résidence à Daïmôn et exposition à La Filature
Daïmôn, Gatineau (QC), Canada.
Résidence du 15 au 25 octobre 2018.
Studio ouvert du 22 au 24 octobre 2018.
Rencontre d’artiste le 24 octobre à 19h.
Diffusion de la série Manœuvres dans le salon de La Filature du 16 au 27 octobre 2018.
Commissaire : Eric Mattson.

European Conference on Computer Vision 2018
Centre culturel Gasteig, Munich, Allemagne.
Exposition du 8 au 14 septembre 2018.

Météores à Miguasha

Rencontres internationales de la photographie en Gaspésie – CHAOS
Parc national de Miguasha (QC).
Exposition du 15 juillet au 30 septembre 2018.
Résidence en août 2018.
Présentation : 17 août 2018 à 11h au parc national de Miguasha, Nouvellle (QC), Canada.
Table ronde : 17 août 2018 à 14h au Foyer Hydro-Québec du Quai des Arts, Carleton-sur-Mer (QC), Canada.

Résidence de recherche CQAM-Turbulent
Turbulent, Montréal (QC).
Juin 2018.

Les vidéos de la série Manœuvres sont disponibles sur La Fabrique culturelle.
https://www.lafabriqueculturelle.tv/series/306/manoeuvres-de-francois-quevillon

Demi-journée de conférences et de réflexions sur l’art, la science et l’interdisciplinarité
Centre Bang, Chicoutimi (QC).
Le 7 mai 2018 à 13h.

Dérive
Communitech, Kitchener (ON), Canada.
Dans le cadre de l’exposition Interaction commissariée par 
Jane Tingley et Alain Thibault.
Du 25 janvier au 13 mai 2018.

VENDU-SOLD 2017
Musée des beaux-arts de Montréal.
Le 23 novembre 2017 à 18h.

En attendant Bárðarbunga
PAVED Arts, Saskatoon (SK), Canada. Du 15 septembre au 21 octobre 2017.
Conférence suivie du vernissage le 15 septembre à 19h.

Atelier de photogrammétrie
PAVED Arts, Saskatoon (SK), Canada. Le 14 septembre à 18h.

Conférence à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue
Création et nouveaux médias à l’UQAT, Rouyn-Noranda (QC), Canada. Le 7 septembre 2017 à 13h.

Balance Unbalance 2017 – A Sense of Place.
Plymouth, Royaume-Uni. Du 21 au 23 août 2017.

Dérive sur The Earth Issue

Distances : latences.
Maison de la culture du Plateau-Mont-Royal, Montréal (QC), Canada.
Commissaire : Nathalie Bachand. Projet d’expositions du réseau Accès culture pour le 375e anniversaire de la Ville de Montréal : Un million d’horizons (1×19=1 000 000). Du 21 juin au 20 août 2017.

Résidence Art in the Park au parc national du Gros-Morne.
Partenariat entre The Rooms et Parcs Canada. Terre-Neuve-et-Labrador. Du 26 juin au 28 juillet 2017.

Variations pour cordes et vents figure dans la publication ICEVIEW Volume 1. Parution le 26 mai 2017.
Entrevue à propos de mon séjour en Islande: Q & A with François Quévillon.

POST-, La Minute vidéo Folie/Culture 2017.
La Chambre Blanche. Québec (QC), Canada. Le 10 mai 2017.

Résidence d’artiste à La Chambre Blanche. Québec (QC), Canada. Du 13 mars au 5 mai 2017.
Présentation lors d’un 5 à 7 le 30 mars 2017.

Résidence d’artiste au Centre Sagamie. Alma (QC), Canada. Du 21 au 25 novembre 2016.

Atelier Visibilités restreintes.
Université du Québec à Montréal. Montréal (QC), Canada. 1er novembre 2016.

Variations pour cordes et vents.
Vitrine interactive de l’ARTVstudio. Montréal (QC), Canada. Du 21 juin au 28 août 2016.

Perdu dans l’espace.
Salle de diffusion de Parc-Extension, Montréal (QC), Canada.
Dans le cadre de la Biennale internationale d’art numérique. Du 6 juillet au 28 août 2016.

En attendant Bárðarbunga.
Centre d’art Jacques-et-Michel-Auger, Victoriaville (QC), Canada.
Festival international de musique actuelle de Victoriaville. Commissaire : Érick D’Orion. Du 16 mai au 11 juin 2016.

En attendant Bárðarbunga.
Vitrine de la Manif d’art dans le cadre du Mois Multi.
600 côte d’Abraham, Québec (QC), Canada. Du 3 au 27 février 2016, de midi à minuit.
Vernissage le 11 février à 17h.

Résidence de recherche en arts, sciences et technologies.
Collaboration entre Sporobole et l’institut interdisciplinaire d’innovation technologique (3IT) de l’Université de Sherbrooke.
Sherbrooke (QC), Canada. 2014 – 2015.

En attendant Bárðarbunga.
Diffusion de 16h à minuit à la vitrine de Sporobole.
Sherbrooke, Québec, Canada. Du 10 au 18 décembre 2015.

RIDM | Rencontres Internationales du Documentaire de Montréal
Salle Norman-McLaren de la Cinémathèque québécoise.
335, boul. De Maisonneuve Est, Montréal, Québec, Canada. Du 12 au 22 novembre 2015.

Sous observation | Quebec Digital Art in NYC
Knockdown Center. Commissaire : Nicole Gingras.
52-19 Flushing Avenue, Maspeth, New York. États-Unis. Du 22 au 24 octobre 2015.

Éléments
Exposition solo à Espace F – GAM.
Matane, Québec, Canada. Du 10 juillet au 20 septembre 2015.

IndieBo – Festival de Cine Independiente de Bogotá
Bogotá, Colombie. Du 16 au 26 juillet 2015.

LOOP Barcelona 2015
NOISE – Ruta del Gótico | Estudio Nómada.
Carrer de la Palma de Sant Just 7, 08002, Barcelone, Espagne. 29 et 30 mai 2015.

Dérive à l’exposition New Frontier du festival de film de Sundance.
573 Main Street. Park City, États-Unis. Du 23 au 31 janvier 2015.

Points de repère dans le cadre de l’exposition Vies de Plateau
Pointe-à-Callière, Musée d’archéologie et d’histoire de Montréal.
Montréal, Québec, Canada. Du 23 octobre 2013 au 4 janvier 2015.

Plugin Istanbul
Exposition Confluence regroupant des artistes de Perte de Signal.
The Istanbul Convention and Exhibition Center. Istamboul, Turquie. Du 13 au 16 novembre 2014.
Vernissage le 12 novembre 2014.

ISEA2014 – Location. 20th International Symposium on Electronic Art.
Cour intérieure principale du quartier historique Al Fahidi.
Dubaï, Émirats arabes unis. Du 2 au 8 novembre 2014.
Vernissage le 4 novembre à 18h.

FILE 2014, Festival Internacional de Linguagem Eletrônica.
Centre culturel FIESP. São Paulo, Brésil. Du 25 août au 5 octobre 2014.

Résidence à la Samband íslenskra myndlistarmanna.
Reykjavík, Islande. Projet soutenu par le CAC et le CALQ. Du 31 juillet au 1er septembre 2014.

Trace(s) – Festival des arts numériques.
Centre d’art rhodanien Saint-Maur, Bagnols-sur-Cèze, France. Du 15 mai au 4 juin 2014.

Papilles et pixels.
Centre des sciences de Montréal. Montréal, Québec, Canada. Le 15 mai 2014.

Dérive à Électrochoc 9.
Halle Grenette, Bourgoin-Jallieu, France. Du 3 au 12 avril 2014.

Neural 47, Art in the age of neurological reproduction
L’édition 47 de Neural contient une entrevue avec Novi_sad et le visuel de Neuroplanets figure à la couverture du magazine.

BorderBody – Mixing Identities
MECA Mediterráneo Centro Artístico, Almeria, Espagne. Les 7 et 21 février 2014.

BorderBody – Mixing Identities
Palazzo Barone Ferrara, Bari, Italie. Du 13 au 21 février 2014.

The Wrong – The New Digital Art Biennale
Homeostasis Lab. Du 1er novembre au 31 janvier 2014.

Impermanence
Exposition avec les membres de Perte de Signal Nelly-Ève Rajotte et Alexis Bellavance commissariée par Charlotte Panaccio-Letendre. L’exposition est présentée dans le cadre de la 27e édition du Festival international du cinéma francophone en Acadie (FICFA). Merci au Conseil des arts du Canada.
Galerie Sans Nom.
Moncton, Nouveau-Brunswick, Canada. Du 15 novembre au 20 décembre 2013.

SHOW OFF Paris
Volet d’art numérique québécois présenté par Perte de Signal en collaboration avec Elektra.
Directeur artistique: Dominique Moulon, commissaire invitée: Aurélie Besson.
Espace Pierre Cardin, Paris, France. Du 21 au 23 octobre 2013

Publication électronique 40 000 ans.
Publication collective numérique produite par Avatar réunissant les contributions de 55 artistes de l’Europe, des États-Unis, du Canada et du Québec. On y retrouve notamment un texte de Nathalie Bachand sur Dérive. Elle sera offerte gratuitement dès le samedi 21 septembre 2013 sur le iTune Store et en version web au http://avatarquebec.org/40000ans/fr/f_quevillon.html

Programmation Espaces liminaires à Espace [IM] Média 2013.
Commissariat d’interventions à Sherbrooke (Québec, Canada) du 31 juillet au 17 août 2013 par Isabelle Hayeur, Nelly-Ève Rajotte, Aram Bartholl et Niklas Roy.
Documentation et information supplémentaire.

Réalisation de la couverture de l’album Neuroplanets, un projet de l’artiste sonore et musicien Novi_sad en collaboration avec BJ Nilsen, Daniel Menche, Francisco López et Mika Vainio.

Defrost au Festival internacional de la imagen.
Centro Cultural y de Convenciones Teatro los Fundadores.
Manizales, Colombie. Du 15 au 19 avril 2013.

Dérive au Mois Multi 14
Studio d’Avatar, ville de Québec. Du 15 au 28 février 2013, de 12h à 18h.
Vernissage le 14 février 2013 à 18h.

Dérive à ISEA2012 Albuquerque : Machine Wilderness
Albuquerque Museum of Art and History.
Albuquerque, Nouveau-Mexique, États-Unis. Du 19 septembre 2012 au 6 janvier 2013.

Article, THE Magazine (Santa Fe, NM).
Article, The Institute of Creative Technologies (Leicester, UK).
Entretien avec Larry Heard, Temporary Art Review.
Reportage pour la télévision, KASA.

Résidence d’artiste au Museu da Imagem e do Som.
São Paulo, Brésil. Novembre et décembre 2012.
Collaboration du MIS, d’Avatar, de la Bande Vidéo et de La chambre blanche.

Impermanence
Exposition avec les membres de Perte de Signal Nelly-Ève Rajotte et Alexis Bellavance commissariée par Charlotte Panaccio-Letendre.
Espace Cercle Carré.
Montréal, Québec. Du 1er au 24 novembre 2012.

Résidence d’artiste chez Avatar.
Québec, Québec. Novembre 2012.

Géographies variables
Exposition collective à l’édifice Beenox. 305 boul. Charest Est, 9ième étage, Québec, Québec. Du 19 octobre au 11 novembre 2012.

Impermanence
Exposition avec les membres de Perte de Signal Nelly-Ève Rajotte et Alexis Bellavance commissariée par Charlotte Panaccio-Letendre.
Maison des arts Desjardins Drummondville.
Drummondville, Québec. Du 4 septembre au 21 octobre 2012.

Dérivées locales
Exposition Confluence de Perte de Signal à la galerie Joyce Yahouda (Montréal, Québec) du 3 mai au 2 juin 2012.
Dans le cadre de la Biennale internationale d’art numérique.

Dérive au festival Art Rock (Saint-Brieuc, France). Du 22 au 28 mai 2012.

Dérive à Bouillants #4 // Frontières (Vern-sur-Seiche, France). Du 21 avril au 20 mai 2012.

Présentation le 4 mai 2012 à 15h à la salle Fernand-Séguin de la Cinémathèque québécoise (Montréal, Québec) dans le cadre du Marché international de l’art numérique.

Dérive
Exposition à la Galerie Verticale (Laval, Québec). Du 24 mars au 28 avril 2012.
Présentation le 28 avril 2012 à midi dans le cadre de la Biennale internationale d’art numérique.

Revue Sabord. Mars 2012 – no 91, Surveillance
Le pouvoir du regard. Chronique de Annie Hudon Laroche portant sur la série Chronoscopies et Dérive.

Art Souterrain 2012
Gare Centrale de Montréal (Montréal, Québec). Du 25 février au 11 mars 2012.

Résidence d’artiste à l’AADN (Lyon, France). Du 31 octobre au 23 novembre 2011.

Présentation de l’installation Dérive et du travail de résidence en cours dans le cadre du festival Expériences Numériques.
Maison pour tous – Salle des Rancy. 249 rue Vendôme (Lyon, France). Activité de médiation le 11 novembre à 19h.
Exposition le 12 novembre à compter de 16h30.

VENDU-SOLD 2011
Encan-bénéfice au profit des éditions esse.
Musée des beaux-arts de Montréal. Le 17 novembre 2011 à 18h.

Interstices – Coefficients d’intimité / Amplified Intimacies
Lancement de la publication à OBORO (Montréal, Québec). Le 10 novembre 2011 à 17h30.

Dérive
Projection interactive extérieure dans le cadre d’Espace [im] média. Près du Marché de la gare de Sherbrooke (Québec) du 6 au 18 septembre 2011, de 19h30 à minuit.

Résidence d’artiste à Sporobole (Sherbrooke, Québec), été 2011.

L’atomisation du temps
Exposition solo à l’espace d’art et d’essai contemporains Occurrence (Montréal, Québec) du 7 mai au 18 juin 2011. Présenté en collaboration avec Elektra.

La Terre en suspens – OBORO 2023

Exposition solo La Terre en suspens.
OBORO. Salle Daniel-Dion et Su Schnee et petite galerie.

4001 rue Berri, espace 301, Montéal, Québec, Canada.
Du 15 avril au 20 mai 2023.

Vernissage le samedi 15 avril 2023 à 17 h
Présentation d’artiste le samedi 6 mai à 14 h

François Quévillon, Esker / lithium, exposition La Terre en suspens, OBORO (Montréal), 2023. Photo : François Quévillon
François Quévillon, Érosions 3, exposition La Terre en suspens, OBORO (Montréal), 2023. Photo : Paul Litherland
François Quévillon, Traînées pyroclastiques et Pyrocumulus, exposition La Terre en suspens, OBORO (Montréal), 2023. Photo : François Quévillon
François Quévillon, Cryptocristallin, Rooting : Le Rocher et Tablelands en suspension. Exposition La Terre en suspens, OBORO (Montréal), 2023. Photo : François Quévillon.

La matière du temps.
Opuscule par Ariane Koek.


C’est une milliseconde versus un milliard d’années. Le temps technologique versus le temps géologique. Notre monde semble actuellement engagé dans une guerre meurtrière entre deux versions différentes du temps linéaire. Les minéraux et les terres rares présents dans le sol depuis
des milliards d’années sont aujourd’hui extraits à une vitesse croissante afin d’alimenter nos technologies. Le temps profond est transformé en temps accéléré. Nous consommons ces roches et ces minéraux beaucoup plus rapidement qu’ils ne peuvent se régénérer. Nous dématérialisons littéralement la planète – et ce faisant, nous manquons de temps.

Ces paradoxes critiques sont au cœur du travail de François Quévillon. Depuis sa résidence au parc national du Gros-Morne en 2017, il consacre sa pratique aux roches et aux minéraux. Son travail des vingt dernières années a été une recherche constante sur la nature de la matérialité – qu’il s’agisse d’une matière liquide, vaporeuse, aérienne ou solide. Mais depuis six ans, il s’est découvert un nouveau centre d’intérêt avec la géologie qui combine les enjeux environnementaux, sociétaux et éthiques qui lui tiennent à cœur. Son travail ne prêche pas à propos de ces sujets. Il soulève plutôt des questions subtiles dans l’esprit du public en l’attirant avec la beauté et la maîtrise des images qu’il produit, ainsi qu’avec son utilisation créative de la technologie.

L’élément clé de son travail réside dans le fait qu’il possède aussi une qualité troublante et inquiétante : ses images se situent à la frontière entre le heimlich et le unheimlich – le familier et l’inquiétant1 –, ses œuvres possèdent ainsi une liminalité captivante. Prenez par exemple l’impression lenticulaire Pyrocumulus. Lorsque l’on se déplace, elle change d’état, de forme et de texture. La matière en fusion semble se transformer momentanément en un nuage de cendre volcanique s’épanouissant comme une fleur2. Ou encore Cryptocristallin, qui pourrait être l’image agrandie d’un microorganisme sous le microscope. En réalité, il s’agit de l’intérieur d’une géode reconstituée avec une profondeur de champ3. La bande sonore d’un chuintement issu de l’activité volcanique qui l’accompagne évoque l’énergie nécessaire à la formation de la roche, lui insuffle une présence qui anéantit la distinction entre la matière éteinte et vivante.

Son installation Esker / lithium possède un caractère liminal encore plus complexe, en partie en raison de l’ampleur de la recherche qu’il a réalisée sur plusieurs années. Au mur, une envoûtante numérisation 3D ressemble à première vue à une clairière naturelle inhabituelle. Un câble électrique au bout duquel se trouve un téléphone est relié à l’image tel un cordon ombilical et nous suggère qu’il y a autre chose à comprendre. La clairière se situe en réalité sur un site de prospection pour l’extraction du lithium dont le téléphone dépend pour s’alimenter. L’appareil, dont la batterie est défectueuse, est déposé sur l’image d’un trou creusé sur ce site. Celle-ci recouvre une palette de bouteilles de plastique contenant de l’eau de source collectée à proximité – un commentaire
subtil sur l’extractivisme et le consumérisme.

Les questions subliminales soulevées par ces juxtapositions déclenchent ce que François appelle un « malaise réflexif ». Il tente délibérément de provoquer ce sentiment dans son travail. Il s’agit d’un inconfort qu’il ressent lui-même puisqu’il utilise les nouvelles technologies pour faire sa recherche, créer et exposer ses œuvres, ce qui contribue aussi à l’extraction et la destruction de la géologie de la planète. Il est tout aussi impliqué que nous dans ce qui se passe avec notre monde. Cependant, il n’en demeure pas moins fasciné par les possibilités créatives que lui offrent, ainsi qu’au public, les technologies qui ouvrent nos perceptions à de nouvelles expériences et compréhensions de ce monde.

Érosions 3 est une autre œuvre qui contient plusieurs strates. En enfilant le casque de réalité virtuelle, les roches que François a numérisées sur les côtes du Saint-Laurent se transforment en vagues ondulantes de particules de lumière et de couleurs. Les frontières entre le littoral et l’eau sont érodées et l’œuvre évoque une nouvelle matérialité géologique qui dépasse la perception humaine – un « matérialisme vital » dont traite la philosophe Jane Bennett, où toute matière est une forme de vie, qu’elle soit inconsciente ou non4. La technologie nous permet de voir les roches de ce monde numérique comme étant mobiles et flexibles. Pourtant, comme le confirmera tout géologue, dans la vie réelle les roches bougent et leur mouvement est au cœur de leur existence : elles se forment, se reforment et se transforment à travers le temps, elles sont les expertes de la métamorphose. Elles le font simplement sur une période qui s’étire sur des milliers et des millions d’années, ce qui dépasse de loin l’expérience corporelle du temps des êtres humains. En fait, les roches sont immortelles, à l’exception de l’usure créée par le climat et les éléments, et de leur destruction par les êtres humains. Peut-être qu’une part de notre fascination – et de notre mépris – pour les roches réside dans notre jalousie inconsciente envers leur immortalité. Nous les détruisons littéralement afin de vivre sur du temps (profond) emprunté.

Érosions 3 peut aussi être interprétée comme une critique du monde en tant que solipsiste. Lorsqu’une personne entre dans la salle et met le casque de réalité virtuelle, elle déclenche à son insu des sons et des images auxquels les autres personnes présentes sont confrontées. La personne qui porte le casque ne peut ni entendre ni voir ce qui se déroule à l’extérieur de sa propre expérience. Elle est au centre de son propre univers – en véritable actrice de l’anthropocène.

Cependant, il y a également de l’espoir dans le travail de François. Rooting : Le Rocher montre des racines s’agrippant tenacement à un rocher, et ce avec une telle vigueur qu’elle semble presque palpable. La vie trouvera toujours son chemin. Dans son livre L’ordre du temps, le physicien Carlo Rovelli expose une énigme pour tester la nature de la réalité. Il évoque l’hypothèse qu’une roche et un baiser sont identiques. Ce sont des phénomènes qui se maintiennent grâce au temps :

La pierre la plus solide, à la lumière de ce que nous ont appris la chimie, la physique, la minéralogie, la géologie, la psychologie, est en réalité une vibration complexe de champs quantiques, une interaction momentanée de forces, un processus qui pour un bref instant réussit à se maintenir dans un équilibre identique, avant de tomber de nouveau en poussière5.

En fin de compte, le travail de François – qui examine la géologie des médias et les formations géologiques avec leurs différentes matérialités – laisse entrevoir un état d’existence qui va même au-delà de celui des vitalités matérielles pour qui tout est égal. Au contraire, comme le démontre Carlo Rovelli, ce qui compte réellement au final c’est le temps – et les forces qui interagissent pour façonner à la fois une roche et un baiser. Le temps compte. Le temps est une forme de matérialisation – de signification et d’élaboration du/des monde(s) où tous les êtres existent. Nous sommes le temps.

— Ariane Koek
Traduction: Catherine Barnabé

  1. Voir l’essai de Sigmund Freud, L’inquiétante étrangeté, 1919.
  2. Le titre Pyrocumulus réfère aux nuages de feu qui se forment lorsque l’air chaud monte. La pièce
    évoque également le mythe chinois qui lie les nuages aux roches – les considérant comme étant la
    même chose, c’est-à-dire une expression de la matière, seulement l’une est un aérosol et l’autre est
    un solide. Voir Paul Prudence, The Lithic Imaginary, Sternberg Press, 2023.
  3. Le titre évoque aussi, de manière taquine et délibérée, le crypto art et les NFT – une forme avec
    laquelle François n’a pas travaillé jusqu’à présent.
  4. Jane Bennett, Vibrant Matter: A Political Ecology of Things, Duke University Press, 2010.
  5. Carlo Rovelli, L’ordre du temps. Flammarion, 2018, p.118. Traduit de l’italien par Sophie Lem.
François Quévillon, Cryptocristallin, exposition La Terre en suspens, OBORO (Montréal), 2023. Photo : François Quévillon
François Quévillon, Pyrocumulus, Bauxite en orbite et Cryptocristallin. Exposition La Terre en suspens, OBORO (Montréal), 2023. Photo : François Quévillon
François Quévillon, Pyrocumulus, exposition La Terre en suspens, OBORO (Montréal), 2023. Photo : François Quévillon
François Quévillon, Traînées pyroclastiques, exposition La Terre en suspens, OBORO (Montréal), 2023. Photo : François Quévillon
François Quévillon, Tablelands en suspension et Rooting : Le Rocher, exposition La Terre en suspens, OBORO (Montréal), 2023. Photo : François Quévillon.
François Quévillon, Rooting : Le Rocher, exposition La Terre en suspens, OBORO (Montréal), 2023. Photo : François Quévillon.
François Quévillon, Ce qui persiste (encore), exposition La Terre en suspens, OBORO (Montréal), 2023. Photo : François Quévillon.
François Quévillon, Photosynthèse, exposition La Terre en suspens, OBORO (Montréal), 2023. Photo : François Quévillon
François Quévillon, Esker / lithium (detail), exposition La Terre en suspens, OBORO (Montréal), 2023. Photo : François Quévillon
François Quévillon, Photosynthèse et Esker / lithium, exposition La Terre en suspens, OBORO (Montréal), 2023. Photo : François Quévillon
François Quévillon, Esker / lithium (detail), exposition La Terre en suspens, OBORO (Montréal), 2023. Photo : François Quévillon

La Terre en suspens s’inspire de la géologie pour sonder l’espace-temps et la matérialité du numérique. Principalement constituées de numérisations de formations rocheuses et de fragments de territoires altérés par des algorithmes, les œuvres font écho aux implications et aux effets sur la perception de certaines technologies tout en offrant de nouvelles perspectives sur l’évolution terrestre, sa composition et les processus qui agissent sur elle; tels que l’érosion, le volcanisme, ainsi que l’extraction et la transformation du minéral dans un contexte marqué par la mondialisation et les changements climatiques.

Cette exposition résulte de plusieurs résidences au Québec et ailleurs dans le monde. Lors de ses séjours, François Quévillon a effectué du travail sur le terrain et rencontré les communautés afin d’examiner des particularités et préoccupations environnementales locales. L’extraction de tezontle dans des volcans éteints au sud de la ville de Mexico; l’importation et les résidus de bauxite de l’industrie de l’aluminium du Saguenay-Lac-Saint-Jean; l’exploitation minière du lithium, l’eau et la forêt d’Abitibi-Témiscaminque; ainsi que le littoral du Saint-Laurent figurent parmi les sujets abordés. Par le fait même, la diversité des dispositifs présentés questionne notre rapport aux écrans, rappelle la nature minérale de leurs composantes et les ressources que nécessitent le numérique et la transition énergétique. 

François Quévillon remercie le Conseil des arts et des lettres du Québec, le Conseil des arts du Canada et les organismes qui ont participé aux processus de recherche et de réalisation des œuvres, notamment lors de résidences : Parcs Canada, The Rooms, CQAM/Turbulent, Bang, Connecting the Dots, Instituto de Geografía (UNAM), Sagamie, Est-Nord-Est et Molior. Il remercie également Etienne Richan, Édouard Lanctôt-Benoit, Nancy Lombart, Ariane Koek, Carmen Salas, Eric Mattson et toute l’équipe d’OBORO.

François Quévillon, Érosions 3, exposition La Terre en suspens, OBORO (Montréal), 2023. Photo : François Quévillon
François Quévillon, Érosions 3, exposition La Terre en suspens, OBORO (Montréal), 2023. Photo : François Quévillon
François Quévillon, Bauxite en orbite, Rooting : Le Rocher et Tablelands en suspension. Exposition La Terre en suspens, OBORO (Montréal), 2023. Photo : François Quévillon