Aquarium, installation in situ, vidéo et sonore, CDEx, 2004.
Projet réalisé par Patrick Bérubé, Clara Bonnes et François Quévillon dans le cadre de l’événement Eaux Arts Électroniques ! présenté par Champ Libre.
L’installation s’inscrivait dans architecture du lieu de diffusion marquée par la présence de canalisations et de conduites d’aération. Quatre vidéos étaient projetées sur les murs et sur une des larges vitrines donnant sur l’intersection des rues Saint-Denis et Sainte-Catherine. Les passants percevaient les projections vidéo montrant la surface d’une masse d’eau légèrement agitée, ainsi qu’un bruit sourd faisant vibrer les vitrines du centre de diffusion. La dimension physique des basses fréquences audio s’adressait davantage à la perception haptique qu’à l’ouïe, ce qui incitait les passants à toucher aux vitres. À différents moments, le spectateur était surpris par le bruit et l’image d’un individu émergeant de l’eau qui reprenait son souffle avec difficulté. L’individu apparaissait aléatoirement sur l’une des quatre projections à une intervalle d’environ une minute. Cet événement contrastait avec la dimension contemplative de l’environnement proposé.
www.champlibre.com/eaux
Aquarium, installation in situ, vidéo et sonore, CDEx, 2004.
Projet réalisé par Patrick Bérubé, Clara Bonnes et François Quévillon dans le cadre de l’événement Eaux Arts Électroniques ! présenté par Champ Libre.
L’installation s’inscrivait dans architecture du lieu de diffusion marquée par la présence de canalisations et de conduites d’aération. Quatre vidéos étaient projetées sur les murs et sur une des larges vitrines donnant sur l’intersection des rues Saint-Denis et Sainte-Catherine. Les passants percevaient les projections vidéo montrant la surface d’une masse d’eau légèrement agitée, ainsi qu’un bruit sourd faisant vibrer les vitrines du centre de diffusion. La dimension physique des basses fréquences audio s’adressait davantage à la perception haptique qu’à l’ouïe, ce qui incitait les passants à toucher aux vitres. À différents moments, le spectateur était surpris par le bruit et l’image d’un individu émergeant de l’eau qui reprenait son souffle avec difficulté. L’individu apparaissait aléatoirement sur l’une des quatre projections à une intervalle d’environ une minute. Cet événement contrastait avec la dimension contemplative de l’environnement proposé.
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