L’atomisation du temps.
Exposition solo à l’espace d’art et d’essai contemporains Occurrence.
Présenté en collaboration avec Elektra.
Vernissage le samedi 7 mai à 15h.
L’exposition se poursuit jusqu’au 18 juin 2011.
L’atomisation du temps regroupe des images, vidéos et installations médiatiques dans lesquelles la structure matricielle de l’image numérique est utilisée pour la visualisation de phénomènes spatiotemporels. Retraçant des événements dont la durée varie entre une heure et un an, chaque représentation est le résultat d’un processus à travers duquel les pixels ont saisi des fragments d’instants successifs. Cette opération de dislocation temporelle génère des images stratigraphiques qui révèlent les aléas, les rythmes, les intensités et les moments transitoires d’une réalité en constante fluctuation.
L’exposition comprend également des nuages de points 3D de villes obtenus par l’utilisation d’un procédé de photogrammétrie et d’informations géomatiques. Ces images sont liées à la réalisation d’une installation dont le contenu audiovisuel se transformera selon des données environnementales captées en temps réel sur le Web.
Dans l’ensemble des travaux présentés à Occurrence, les pixels des images et les points des modélisations 3D sont abordés comme des unités d’espace-temps afin de retraduire la variabilité des conditions de l’environnement tout en examinant le seuil de la perception, la zone floue où le «bruit» devient une source d’information.
Occurrence, espace d’art et d’essai contemporains
5277 Avenue du Parc
Montréal, Québec, Canada.
H2V 4G9
Heures d’ouverture
Mardi – samedi, de 12h à 17h.
Vendredi, de 12h à 20h.
45.5019, -73.5710 [2010-11-12T11:28:52/13:35:29], de la série Chronoscopies. Impression numérique de 187 x 107 cm présentée dans un caisson lumineux à DEL. 2010.
Intersection des rues Sainte-Catherine Ouest et McGill College.
Montréal, Québec, Canada.
2010/11/12 – 11:28:52 > 13:35:29
Partition pour l’installation médiatique Ciels variables. Échantillonnage du ciel montréalais sur une période d’un an.
Articles sur l’exposition.
François Quévillon : image mangeuse de temps. Chronique de Claire Moeder, ratsdeville, 27 mai 2011.
Le festival Elektra, porté par des installations très physiques. Article de Jérôme Delgado, Le Devoir, 6 mai 2011.
Je remercie le Conseil des Arts du Canada pour son soutien financier, Occurrence, Perte de Signal et Elektra. Merci aux Lombart pour les boîtes lumineuses, à Alexis Bellavance pour le montage, au Centre Sagamie, à Labomédia, au programme de résidences Géographies variables, à Nelly-Ève Rajotte, à Sonny Harrisson pour le transport, à Benoit et Maude pour le démontage, à Ralf Pickart et Oliver pour les vidéos.
L’atomisation du temps.
Exposition solo à l’espace d’art et d’essai contemporains Occurrence.
Présenté en collaboration avec Elektra.
Vernissage le samedi 7 mai à 15h.
L’exposition se poursuit jusqu’au 18 juin 2011.
L’atomisation du temps regroupe des images, vidéos et installations médiatiques dans lesquelles la structure matricielle de l’image numérique est utilisée pour la visualisation de phénomènes spatiotemporels. Retraçant des événements dont la durée varie entre une heure et un an, chaque représentation est le résultat d’un processus à travers duquel les pixels ont saisi des fragments d’instants successifs. Cette opération de dislocation temporelle génère des images stratigraphiques qui révèlent les aléas, les rythmes, les intensités et les moments transitoires d’une réalité en constante fluctuation.
L’exposition comprend également des nuages de points 3D de villes obtenus par l’utilisation d’un procédé de photogrammétrie et d’informations géomatiques. Ces images sont liées à la réalisation d’une installation dont le contenu audiovisuel se transformera selon des données environnementales captées en temps réel sur le Web.
Dans l’ensemble des travaux présentés à Occurrence, les pixels des images et les points des modélisations 3D sont abordés comme des unités d’espace-temps afin de retraduire la variabilité des conditions de l’environnement tout en examinant le seuil de la perception, la zone floue où le «bruit» devient une source d’information.
Occurrence, espace d’art et d’essai contemporains
5277 Avenue du Parc
Montréal, Québec, Canada.
H2V 4G9
Heures d’ouverture
Mardi – samedi, de 12h à 17h.
Vendredi, de 12h à 20h.
45.5019, -73.5710 [2010-11-12T11:28:52/13:35:29], de la série Chronoscopies. Impression numérique de 187 x 107 cm présentée dans un caisson lumineux à DEL. 2010.
Intersection des rues Sainte-Catherine Ouest et McGill College.
Montréal, Québec, Canada.
2010/11/12 – 11:28:52 > 13:35:29
Articles sur l’exposition.
François Quévillon : image mangeuse de temps. Chronique de Claire Moeder, ratsdeville, 27 mai 2011.
Le festival Elektra, porté par des installations très physiques. Article de Jérôme Delgado, Le Devoir, 6 mai 2011.
Je remercie le Conseil des Arts du Canada pour son soutien financier, Occurrence, Perte de Signal et Elektra. Merci aux Lombart pour les boîtes lumineuses, à Alexis Bellavance pour le montage, au Centre Sagamie, à Labomédia, au programme de résidences Géographies variables, à Nelly-Ève Rajotte, à Sonny Harrisson pour le transport, à Benoit et Maude pour le démontage, à Ralf Pickart et Oliver pour les vidéos.